- Dis, papa, pourquoi tu es toujours tout rouge ?
- Euh... Ben... L'hiver, quand je rentre du travail en mobylette, le froid me rend tout rouge.
- Ah bon ! Mais pourquoi l'été aussi tu es tout rouge ?
- Eh ben, c'est à cause du casque. Quand je reviens en mobylette, ça me donne chaud.
Alors la mère se lève brusquement et saisit la bouteille de pastis. Son mari, étonné, lui demande :
- Mais qu'est-ce que tu fais, chérie ?
- Comme tu le vois, je range la mobylette.
Lors de l'inauguration de la bibliothèque de l'université américaine qu'il a entièrement financée, un milliardaire s'adresse aux étudiants :
- Jeunes gens, je vais vous raconter comment j'ai débuté.
A dix-sept ans, j'ai trouvé une pomme dans le caniveau. Je l'ai essuyée, lustrée pour qu'elle soit bien brillante, je l'ai vendue et avec l'argent j'ai acheté deux pommes.
Je les ai lustrées, revendues, et j'ai acheté quatre pommes.
Au bout de quinze jours j'avais un cageot.
Six semaines plus tard, je pouvais m'acheter une petite voiture de livraison. C'est à ce moment-là que mon grand-père est mort en me laissant cent millions de dollars...
Un type furieux se présente devant St Pierre :
- Mais bon sang, qu'est-ce que je fais là ! hurle-t-il. Regardez-moi : j'ai 35 ans, je suis en pleine forme, je ne bois pas, je ne fume pas, hier soir je me couche bien sagement dans mon lit et voilà que je me retrouve au ciel. C'est certainement une erreur !
- Eh bien ! ça n'est jamais arrivé, mais enfin je vais vérifier quand même, répond St-Pierre, troublé. Comment vous appelez-vous ?
- Marcello. Marcello Intini.
- Oui... Et quel est votre métier ?
- Garagiste.
- Oui... Ah, voilà, j'ai votre fiche. Marcello, garagiste... Eh bien, monsieur Intini, vous êtes mort de vieillesse, c'est tout...
- De vieillesse ? Mais enfin ce n'est pas possible, je n'ai que 35 ans
- Ah moi je ne sais pas, mais on a fait le compte de toutes les heures de main d'oeuvre que vous avez facturées, et ça donnait 93 ans...
Un jeune marié rentre le soir chez lui, et sa femme lui saute au cou en lui disant :
- Chéri, j'ai une grande nouvelle ! Je suis en retard d'un mois... Je crois que nous allons avoir un bébé ! J'ai fait le test chez le docteur aujourd'hui, mais tant qu'on n'aura pas une certitude, on n'en parle à personne...
Le jour suivant, un contrôleur de l'E.D.F. sonne chez elle :
- Vous êtes bien madame Durand ? Madame, vous avez un mois de retard.
- Comment le savez vous ? balbutie la jeune femme.
- Mais, madame, c'est inscrit sur nos registres.
- Qu'est-ce que vous dites ? C'est inscrit ... sur vos registres ?
- Absolument.
Le soir elle raconte cela à son mari qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain aux bureau de l'E.D.F.
- Qu'est-ce que c'est cette histoire ? hurle-t-il. Vous inscrivez sur vos registres que ma femme a un mois de retard ? De quoi vous mêlez-vous ?
- Écoutez, dit le contrôleur, calmez-vous, ce n'est pas bien grave. Vous n'avez qu'à l'acquitter et on en parle plus.
- La quitter ? Il n'en est pas question : je ne la quitterai jamais ! Ni maintenant ni plus tard !
- Dans ce cas, je vous préviens, si vous refusez de l'acquitter, on va vous la couper.
- Quoi ? Me la couper ? Mais qu'est-ce que fera ma femme ?
- Je ne sais pas... Elle n'aura qu'à se servir d'une bougie !